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Encore un blog sur le voyage direz-vous ?

Oui mais ici c’est un blog rédigé par des agents de voyages voulant transmettre leur passion. Notre volonté : “Parler du voyage autrement” . Des bons plans, des nouvelles tendances, des idées de voyages, des itinéraires,  l’avis de nos clients … seront au menu de notre blog.

Un seul fil rouge , de près ou de loin le voyage.

 

 

Excuse me while I kiss the sky

C’est parti ! Aéroport de Zaventem, 7h30. Vol SN501 de Bruxelles à JFK: on time ! Je décolle dans 3 heures à destination de ma New York, et j’ai tellement hâte de la retrouver ! Cet après-midi, The Big City sera prête pour m’accueillir et, pendant 24 heures, cela se passera uniquement entre elle et moi.

J’aurai une après-midi et une matinée à passer là-bas. Comme prévu, j’ai donc préparé un plan d’action pour profiter au mieux de ces courtes retrouvailles.

D’abord l’avion. Vol Brussels Airlines en privilège classe : top !

Avec mon ESTA en poche, qui est toujours en cours de validité depuis mon dernier voyage, j’accède à la file rapide pour le passage en douane. Temps d’attente, 10 minutes : impeccable !

Ma navette vers Manhattan est réservée : parfait !

Lorsque le van qui m’emmène vers mon hôtel entame la traversée du pont de Queensboro, je repense aux paroles entendues dans Gatsby le Magnifque, que j’ai justement visionné dans l’avion : « Je ne savais que penser… mais Manhattan vu du pont de Queensboro est toujours le Manhattan que l’on voit pour la première fois. Et qui promet tout le déchaînement de mystère et de beauté de que le Monde peut offrir ». Le chauffeur du van me demande ce qui me fait sourire. Je lui cite alors les mots de Nick Carraway dans Gatsby en lui disant que c’est excatement le sentiment qui m’envahit à chaque fois que je passe ce pont pour entrer dans Manhattan. Il me regarde alors avec un œil rieur et me répond : « So… Welcome Home ! ». Je jubile, il m’a définitivement comprise lui !

Après environ 45 minutes de trajet, j’atteins le Maritime Hotel. Cet hôtel, qui a été conçu pour représenter un bateau, dispose de petites chambres décorées avec soin et très confortables. Détail marin : ce n’est pas une fenêtre classique mais un hublot qui me dévoile la vue sur le Chelsea Market et la High Line. J’ai justement opté pour cet hôtel pour sa situation au cœur de Chelsea (à l’angle de la 9e avenue et de la 16e rue). Chelsea, lieu de brassage culturel où se mélangent galeries d’art et boîtes de nuit ultra branchées, est juste à côté de Meatpacking District, ancien quartier des abattoirs qui abrite aujourd’hui d’anciens entrepôts transformés en lofts et boutiques de luxe.

A 2 rues de mon hôtel, je découvre Story, un concept store qui propose toutes les 6 à 8 semaines un thème différent de manière à ne pas tomber dans l’épuisement que connaissent certains commerces très spécifiques. La propriétaire explique que l’idée de départ était de « penser le marketing comme le rédacteur en chef d’un magazine qui planche sur un nouveau thème à chaque numéro, à l’image d’une galerie d’art et de ses expositions. Imaginer une histoire forte, repenser l’environnement de vente, proposer des articles en lien avec le thème, organiser des évènements : et voilà ! Une nouvelle boutique est née pour quelques mois » [1] . Le thème exploité lors de mon passage : Work Space. De la tenue idéale pour la parfaite working girl au bloc-notes connecté en passant par l’espace machine à café, tous les aspects de la vie au boulot ont été travaillés de manière innovante et cadrant parfaitement avec le côté ultra en vogue du quartier.

Mon escapade me mène ensuite au cœur de Greenwich Village, le New York des new-yorkais. Au 66 Perry Street, je passe devant la maison de Carrie Bradshaw [2] pour arriver chez CO Bidglelow, la plus ancienne pharmacie de la ville où on trouve encore aujourd’hui des potions homéopathiques, des cosmétiques bio et produits de soin en tous genre. Cette adresse est l’un des piliers du quartier. Il paraît d’ailleurs que Sarah Jessica Parker, Susan Sarandon, Calvin Klein (entre autres) en sont encore aujourd’hui des clients réguliers.

Pour terminer la journée, de boutiques de modes en ateliers de créateurs, je flâne à mon aise dans les rues du Village avant de passer redéposer mon – déjà trop nombreux – shopping à l’hôtel.

Ce soir, rendez-vous à Meatpacking District. Le bar rooftop du Gansevoort Hotel est parfait pour prendre un apéritif avec une vue imprenable sur Manhattan, dans une ambiance lounge à l’écart des nombreux touristes qui fréquentent les rooftop de Times Square.

Ensuite, changement d’atmosphère pour aller dîner à la Tavern on Jane (à l’angle de la 8e Avenue et de Jane Street). Ambiance animée, photos de Joe di Maggio et Babe Ruth sur les murs de briques (les yankees – équipe de baseball – les plus célèbres de tous les temps à New York). On y sert une cuisine de qualité à base de classiques de la cuisine américaine (burgers, steak, salades,…), et le cadre y est super sympa.

Le lendemain matin, je décide de me séparer de New York à la new-yorkaise : après un jogging sur les quais de l’Hudson River, je passe prendre mon petit-déjeuner au Starbucks (ne me demandez pas l’adresse, on en trouve réellement à tous les coins de rues !) puis boucle ma valise tranquillement dans le confort de ma chambre au Maritime Hotel. Après mon check-out, j’emporte un exemplaire du New York Times et hèle un taxi à destination de Penn Station.

C’est la fin de ces 24 heures dans ma ville de cœur. C’était top, comme d’habitude… c’est sûr j’y reviendrai très vite, et pour plus longtemps ! Suite du programme : je prends un train à grande vitesse, l’Amtrak, à destination de Washington DC. Mais ça je vous raconte un autre jour ! A bientôt ! xoxo

Catherine BOURGUIGNON

 


[1] 111 boutiques absolument irrésistibles à New York, (collectif) ed. Hachette
[2] Héroïne branchée de la série Sex and the City


 

“Just a New York Conversation rattling in my head”

Mercredi soir, il est temps de mettre au point mon programme du week-end qui arrive.

Conversation messenger :

« – Hello tu vas bien ? On se rejoint à Meatpacking District vendredi soir ?
– OK, ça marche pour moi. Je vois avec les autres s’ils sont motivés à sortir de Brooklyn. Sinon, samedi on fait comment ?
– Rendez-vous à Penn Station samedi à midi pile. »

Ah ! J’aime vraiment cette conversation ! New York, dans 48 heures, j’arrive !

C’est bientôt les vacances et j’ai 9 jours et 8 nuits pour me lancer à la conquête de la côte est des Etats-Unis. J’ai, évidemment, plein d’idées… il va donc falloir que je m’organise au maximum pour pouvoir optimiser au mieux mon temps pendant cette grosse semaine de congé.

Au programme :

D’abord New York, ma préférée ! Il paraît que j’ai un problème avec cette ville… au-delà de la passion, je pense qu’on peut parler d’obsession ! Cette fois, je n’y passerai pas beaucoup de temps puisqu’elle sera en fait le point de départ de mon aventure et que j’y passerai donc une seule nuit. Je vais donc choisir avec soin mon hébergement, dans l’un de mes quartiers préférés : Chelsea/Meatpacking District.

Ensuite, direction Washington DC. Je rêve depuis des années de me promener sur le national mall, d’y observer le Lincoln Memorial et d’y fouler la marche sur laquelle Martin Luther King « had a dream », de passer devant la Maison Blanche, de monter les marches du Capitol et d’imaginer Jenny qui retrouve Forest Gump dans la reflection pool après son retour du Vietnam. J’y consacrerai une journée entière.

Après DC, comme j’aime déjà l’appeler, cap au nord direction Boston. On ira en voiture en faisant étape à Philadelphia d’abord. Choix en adéquation avec une plongée dans le côté institutionnel des Usa puisque c’est là qu’a été signée la déclaration d’indépendance des Etats-Unis d’Amérique. J’ai entendu dire aussi que la ville est très « roots », qu’elle a un côté très brut et que le street art y est présent un peu partout. C’est tout ce que j’aime, arrêt obligatoire donc !

Le lendemain, départ tôt pour une journée de route à destination de Cape Cod dans le Massachussets. Mary Higgins Clark, les phares et les maisons en bois, les plages sauvages et l’observation de baleines au large. Encore des images que j’ai hâte de découvrir de mes yeux. Je m’imagine déjà, mes baskets aux pieds, foulant les planches des jetées des ports de pêche lors de mon jogging matinal.

Et pour finir, Boston. Autre berceau de l’histoire américaine et ville universitaire plus à taille humaine que sa grande sœur New York, elle est le point final obligatoire de cette escapade. Chaque fois que j’en ai parlé, les échos sont unanimes : canon ! Tant en terme de beauté que d’esprit festif ou de liberté d’esprit de cette ville qui est l’une des plus anciennes des USA. Parfait, c’est ça que je veux ! J’y passerai les 3 dernières nuits de mon séjour.

Allez, je boucle mes valises, j’imprime mes billets et je vous emmène dans mes bagages ! Promis je vous raconterai tout !

A très vite pour la première étape : ma précieuse New York City ! xoxo

 

Catherine BOURGUIGNON

14 conseils pour des circuits familles en Amérique du Nord

L’Ouest des USA avec enfants

Les casinos de Las Vegas ne sont pas accessibles aux enfants mais il y a beaucoup d’alternatives! Il ne faut pas manquer le Highroller au LINQ Hôtel, ainsi le parc d’attractions Adventure Dome au Circus Circus Circus Hôtel ou bien encore la découverte du Neon Museum, au centre-ville de Las Vegas, les enfants et les adultes ne s’ennuieront pas.

Le quartier Haight-Ashbury à San Francisco sera l’endroit idéal où amener vos « ados branchés ». Les amateurs de mode vintage seront comblés. Vous pouvez passer des heures à marcher dans les innombrables boutiques vintage, déguster un délicieux milk-shake sur une des petites terrasses et la musique des artistes de rue n’est jamais loin. La visite guidée du bus Hop-on-Hop-off vous attend!

Apple, Facebook, Twitter, Google…. Est-ce cool de visiter la Silicon Valley pour voir par soi-même le siège social de ces grandes entreprises? Apple, dont le siège social est situé à Cupertino, possède un Apple Store qui vend des produits spécialisés que l’on ne trouve nulle part ailleurs. Un must pour les fans d’Apple!

Bearizona, près de Williams se trouve un parc unique où vous pourrez observer les majestueux bisons, loups et chèvres de montagne à travers un itinéraire de 5 km que vous effectuez à bord de votre voiture de location. Après cette balade, vous ferez une halte au Fort Bearizona où les petits et les plus jeunes animaux séjournent. Pour les tout-petits, il y a même une ferme pédagogique.

La Floride avec enfants

En Floride, il y a énormément de choix pour un voyage inoubliable en famille. Choisissez une maison de vacances avec piscine privée. Nous conseillons Orlando Area Executive Plus Homes où les maisons ont une belle piscine extérieure et certaines maisons ont une “salle de jeu”. A noter le séjour est de 4 nuits minimum.

Le Bellasera Resort à Naples est un hébergement adapté aux enfants et dispose de notre icône « Recommandé ». Ce centre de villégiature est situé à proximité du centre de Naples et dispose de suites spacieuses et d’appartements avec plusieurs chambres à coucher. Il dispose de chaises hautes et de lits de camp disponibles et vous pouvez utiliser gratuitement la navette jusqu’à la plage.

Disney World, Universal et Bush Gardens ne sont que quelques exemples des nombreux parcs d’attractions du Sunshine State. Si vous cherchez un parc un peu plus petit, pour les jeunes enfants, visitez Legoland Florida ou bien encore Dinosaur World près de Tampa.

Ouest du Canada avec enfants

Le Nakiska Ranch est idéalement situé près du parc provincial de Wells Gray. Cette ferme est entièrement opérationnelle, signifiant que les vaches et les chevaux paissent dans les prés autour de la ferme et qu’il y a plusieurs animaux plus petits dans la cour. Les chambres et les cabines sont confortables et un barbecue et un feu de camp sont mis en place plusieurs soirs par semaine.

Snorkeling avec les saumons…. si vous osez! À Campbell River, vous pouvez profiter d’une expérience unique entre le 20 juillet et le 30 septembre. Du bateau, les milliers de saumons sont déjà visibles dans les eaux cristallines, mais vous pouvez aussi enfiler une combinaison pour aller faire du snorkeling dans la rivière, entre les saumons roses. Si vous avez de la chance, vous rencontrerez des ours noirs, des phoques et autres animaux sauvages.

Vancouver est une ville formidable à découvrir avec les enfants. Le parc Stanley est parfait pour une journée sportive. Vous pouvez faire du vélo, jouer au football, au pitch & putt ou à la natation dans le parc aquatique « Variety Kids ». Vous pouvez aussi réserver un vol chez « FlyOver Canada », une attraction formidable où vous pouvez survoler le Canada et sentir littéralement toutes les saisons du pays! Attention: pour cette attraction 5D, les enfants doivent mesurer au moins 102 cm.

Est du Canada avec enfants

L’hôtel Chelsea à Toronto propose plusieurs prestations pour les enfants. Sur la Market Place, vous pouvez manger des aliments frais et sains sans avoir à vous asseoir à table pendant des heures et au premier étage de l’hôtel se trouve une zone « Family Fun ». Vous y trouverez la piscine familiale, avec bien sûr un grand toboggan, une aire de jeux séparée pour les tout-petits et une salle de jeux pour les ados.

Volez à travers les forêts du Québec! Le Tree Top Adventure à Saint Fulgence offre un parcours stimulant sur des ponts de cordes, via des filets et des échelles, et des tyroliennes entre les arbres. Il propose plusieurs niveaux et depuis la forêt, vous avez une vue imprenable sur le fjord du Saguenay.  Avant de commencer, suivez les consignes de sécurité détaillées. Consultez notre site Web pour connaître les règles d’accès.

Conseils sur les musées à Ottawa!Tous les enfants n’ont pas le même enthousiasme pour un musée, mais le Musée canadien d’histoire est un incontournable pour tous les âges. La conception du musée est très spéciale: à travers divers écosystèmes, vous parcourez l’histoire du Canada et vous pouvez voir l’évolution depuis les animaux préhistoriques vers la faune contemporaine du pays.



Sources :: eurAm.eu

8 conseils pour vous détendre complètement en vacances

Emportez-vous constamment du travail pendant vos vacances ? Revenez-vous souvent stressé de votre semaine de congé ? Grâce aux conseils ci-dessous, vous pourrez vraiment vous détendre et profiter de l’instant présent !

1. Assurez-vous que vos vacances sont suffisamment longues

Deux semaines est vraiment un minimum pour reposer votre corps et votre esprit.

2. Faites une liste de ce que vous ne pouvez pas emporter avec vous

Votre ordinateur portable, vos papiers et autres livres liés à votre travail, …

3. Vivez l’instant présent

Pas question de passé ni d’avenir. Faites simplement attention à ce qui se passe ici et maintenant. Vous ne pouvez rien faire pour changer le passé et il est impossible de prédire l’avenir.

4. Laissez-vous aller

Libérez-vous de vos soucis, vos peurs, vos attentes et vos souhaits. Ils seront toujours là lorsque vous rentrerez à la maison. N’y faites pas attention pendant vos vacances.

5. Ne regardez pas la télévision

A proscrire. Contemplez le monde à sa juste valeur.

6. La lecture est idéale

Ne lisez pas les choses qui vous font penser ou concernent votre travail.

7. Ecoutez de la musique

Ou jouez de la musique. Parfait pour se détendre.

8. Soyez actif

Si vous vous ennuyez pendant vos vacances, faites du sport, de la randonnée ou de la natation.


Source :: Goed Gevoel

Partir à Oman, vous devriez y penser !

On sait que le sultanat d’Oman est un pays du Moyen-Orient, au sud de la péninsule d’Arabie. Mais saviez-vous que les hôtels de luxe et les activités s’y multiplient pour attirer les touristes ?

Avant leur séjour parmi nous, beaucoup de touristes assimilent le sultanat d’Oman aux autres pays du Golfe et, plus généralement, aux autres pays musulmans. Ils entretiennent dans leur esprit un lien confus entre notre culture et le terrorisme islamique, dont les médias leur rebattent les oreilles. Notre objectif, à nous les Omanais, c’est qu’au moment de nous quitter, les touristes cessent définitivement de faire l’amalgame. Vous ne trouverez aucune autre contrée du monde arabe où les gens sont aussi généreux, accueillants et gentils qu’ici. Oman est spécial, croyez-moi…” Mohammed Al-Maskari tire longuement sur sa chicha aromatisée à la pêche. Le jeune responsable de la communication et du marketing d’un complexe hôtelier de luxe expire ensuite un volumineux nuage de fumée, qui finit par se dissiper dans l’air encore chaud du début de la nuit.

C’est notre dernière soirée sous les étoiles omanaises. En quelques jours, nous avons trouvé de nombreuses raisons d’accorder du crédit aux paroles de Mohammed: oui, le sud de la péninsule d’Arabie abrite une population paisible et des paysages de toute beauté ! Flashback.

Des dattes, confites de milles manières

Nous commençons par déambuler en toute quiétude dans le souk de Nizwa. Première occasion de partager un café amer et des dattes, confites de milles manières. On en fait même une pâte sucrée qui se déguste à la cuillère. Ensuite, direction le fort de la ville. D’un magasin d’épices filtre le son d’une retransmission en anglais du match de Manchester City. Le commentateur souligne une bonne action de notre Kevin De Bruyne national. Nous nous sentirions presque à la maison, sauf qu’ici il fait plus de 25 degrés en hiver.

En soi, la visite du fort de Nizwa n’est pas inintéressante. Seulement, sa restauration minutieuse et l’accumulation de nombreuses couches de plâtre le privent d’un cachet authentique. Nous nous attardons alors sur les hauteurs de ses remparts datant du XVIIe siècle. La vue panoramique vaut le détour.

Sur la route du village Misfat al Jabreen, nous nous arrêtons pour reprendre des forces. Surprise ! Dans une petite gargote qui ne paie pas de mine, le menu composé d’une soupe piquante, d’un poulet accompagné de son riz parfumé et d’une boisson comble avec délices nos appétits. Le tout pour l’équivalent de huit euros.

C’est dans les monts Hajar que se cache Misfat, village hors du temps. Les maisons en argile sont construites à flanc de falaises rocheuses. Elles se prolongent de plateaux en terrasses où poussent entre autres des dattes, des grenades, des papayes et des bananes. On s’y balade, au frais, presque seul au monde, tant les habitants sont discrets.

Balade dans les montagnes

Après une nuit dans les montagnes, effaçant la fatigue due au décalage horaire de trois heures, nous partons en balade sur un sentier surplombant le grand canyon d’Oman, Jabal Shams. Au bout d’une petite heure de marche pointe un village abandonné, suspendu sous une cascade alors asséchée. Lors de la dernière crue, ses habitants ont été relogés vers des lieux plus sûrs et plus accessibles. Le Sultan, manifestement soucieux du bien-être de sa population, y a veillé.

Le lendemain, dans le souk de Mascat, nous remarquons que la figure de Qabus ibn Saïd est partout, sur les billets, sur des affichettes dans les échoppes et sur des drapeaux dans les ruelles. Le soir même, nous rencontrons Mohammed à l’hotel Al Husn. “Le Sultan gouverne dans l’intérêt du pays“, explique-t-il. “A vos yeux, il est difficile de comprendre qu’on soit satisfait si l’on ne vit pas dans une démocratie, mais il faut être conscient qu’ici, la gouvernance du pays répond à notre conception de la religion et de la tradition, tout en s’adaptant aux changements et aux défis futurs, avec de nouvelles maisons, des nouveaux bâtiments publics, des investissements massifs dans l’éducation et la culture. Enfin, aujourd’hui, le tourisme est notre principale préoccupation“. Sans doute pour que l’économie d’Oman ne soit plus aussi dépendante de l’extraction de ses ressources de pétrole.

Une histoire encore à écrire

Juste avant de prendre l’avion de retour vers nos froides contrées, nous découvrons encore le musée national flambant neuf à Muscat. Des classes d’adolescents se succèdent dans les douze galeries permanentes. Les écoliers sont vêtus d’une tunique blanche traditionnelle, les écolières, voilées et souriantes. Le musée retrace toute l’histoire et les traditions du pays avec plus de 7 000 objets qui sont exposés sur 4 000 m2 de superficie. Nous assistons à la projection d’un film didactique, qui explique que l’histoire d’Oman continue à s’écrire chaque jour. Une histoire difficile à comprendre pour nous, Occidentaux, mais passionnante…

Vision pacifique de l’Islam

La religion du sultanat est l’ibadisme, un courant minoritaire de l’Islam venu de Mésopotamie qui prône, selon les préceptes de la “vraie croyance“, la tolérance envers les autres religions et le respect de la nature et des animaux. A l’occasion de la visite de la grande mosquée de Muscat, inaugurée en 2001, un professeur d’université local insiste : “L’Islam est une religion de tolérance, et nous l’avons toujours pratiquée ainsi, dans le respect de l’autre, qu’il soit croyant ou non. Le Sultan, lui-même, prolonge cette tradition, promouvant la paix sur la scène internationale et usant des relations diplomatiques pour tenter de résoudre les différents conflits que connaît la région.” Le pays reste quand même assez conservateur et traditionnel. Evitez de vous balader en short (filles comme garçons) dans les lieux publics et couvrez vos épaules.


Nous vous proposons prochainement un voyage Exclusif au Sultanat d’Oman du 17 au 25 octobre 2017 
Découvrez notre voyage EXCLU >


Sources : La Libre, 04 février 2017

Découvrez pourquoi l’Irlande est “the place to be”

Pour bien commencer 2017, visitez l’Irlande. Si vous souhaitez vraiment changer d’air et vivre l’Irlande authentique, un circuit en voiture vers Donegal est vraiment un incontournable. N’oubliez pas de passer voir l’attraction numéro 1 d’Europe à Belfast et ne passez pas à côté du Skellig Ring dans le comté de Kerry qui sont chaudement recommandés par les guides Lonely Planet. Les amateurs de musique apprécieront très certainement le Tradfest qui se tient à la fin du mois de janvier à Dublin. Nous espérons pouvoir vous accueillir sur l’île verte en 2017 !

Donegal, le secret le mieux gardé d’Irlande pour 2017 !

Si vous souhaitez vraiment déconnecter et découvrir la côte ouest d’Irlande, authentique et sauvage, venez à Donegal. « Le monde sauvage à l’état pur » : selon le magazine National Geographic, Donegal est l’une des 21 destinations par excellence pour 2017. Vous trouverez de plus amples informations à propos de Donegal ici>

Titanic Belfast élu attraction numéro 1 en Europe

Ni la Tour Eiffel, ni Buckingham Palace. Le Titanic Belfast a été désigné comme la première attraction d’Europe. Cette merveille dans la ville où le Titanic a été construit vaut vraiment le détour, tout comme la ville de Belfast en elle-même ! Pour en savoir plus>

Le parcours Skellig Ring sélectionné par le Lonely Planet comme le “Meilleur voyage de 2017” !

Selon le Lonely Planet, il ne faut surtout pas manquer le parcours de 32 km du Skellig Ring sur le Wild Atlantic Way ! Avez-vous déjà été sur la côte de Kerry? Pour en savoir plus>

Fans de musique, attention !

Tradfest ! Au cœur de Dublin aura lieu, du 25 au 29 janvier, l’événement musical le plus cool de toute l’année. Il reste des places disponibles pour ces concerts intimes d’artistes populaires. Pour en savoir plus> 

 

 

 

 

Source :: www.ireland.com

Les 21 destinations à découvrir en 2017 selon le National Geographic

Des forêts tropicales d’Equateur, au berceau de l’humanité sud africain, en passant par Kauai sur l’archipel hawaïen, ou Cathagène en Colombie, voici les 21 destinations recommandées par le très prescripteur National Georgraphic pour l’année 2017 qui s’approche.

> Voir l’article sur National Géographic

Source :: Le Vif Weekend, le 24/11/16

Les plus belles photos de voyage de 2016

Chaque année, les Siena International Photo Awards sont décernés aux plus belles photos de voyage. Issus de plus de cent pays, les photographes participants ont envoyé leurs plus belles photos, pour un résultat magnifique.

 

Voir toutes les photos sur le site du SIPA Contest >

Source :: 06/11/16

Une carte des codes wifi des aéroports

carte_wifi_aeroportsQuoi de mieux pour faire passer au plus vite une attente interminable bloqué à l’aéroport, que de se balader sur la toile. Mais, à l’autre bout du monde, cette activité chronophage et salvatrice n’est pas forcément évidente. Heureusement, un ingénieur/blogueur-voyage a la solution à ce problème de connexion.

 

Ingénieur informatique et blogueur voyage, Anil Polat alias FoxNomad, a mis au point une carte répertoriant les codes wifi des aéroports à travers le globe. Non exhaustif, cette carte en comptabilise pour le moment une centaine, mais l’homme invite les internautes à l’actualiser en lui envoyant les codes de l’aéroport où ils se trouvent, en vue de couvrir les quelques 17.000 que compte la planète.

Il y a quelques semaine, Anit Polat a lancé WiFox, une appli permettant, après téléchargement au roix de 2 euros, d’accéder à cette carte des codes wifi, sans cesse mise à jour et évidemment accessible hors-connexion.

Source :: site weekend.levif.be, Aurélie Wehrlin

 

Rouler à l’étranger: autres pays, autres règles

De multiples règles différencient notre Code de la route de celui de nos voisins proches ou lointains. Et à y regarder de plus près, il existe de sacrées différences, parfois très étonnantes.

Vous prenez le volant à l’étranger cet été? Vous serez certainement confronté à des règles de conduite différentes de chez nous. Certaines de ces règles sont pour le moins cocasses, au point de se demander la raison même de leur existence…

À prendre à bord

La Belgique fait exception en ce qui concerne la présence obligatoire d’un extincteur à bord de la voiture. Chez nous, c’est non seulement obligatoire, vérifié lors du contrôle technique (date de validité), mais en plus il doit être immédiatement accessible au conducteur. Le coffre ne peut donc pas être une solution.
Aan boord

Ailleurs, soit on ne parle pas du tout de l’extincteur, soit on le recommande comme en France. Mais si vous n’en avez pas, vous ne serez pas verbalisé.

Ethylotest

En France vous devriez en principe emporter avec vous un éthylotest. Mais un décret voté après  la loi votée en 2012 a supprimé les sanctions en cas de non-respect de la mesure: “Les conducteurs doivent continuer à posséder un éthylotest dans leur véhicule, mais en son absence ils ne seront pas sanctionnés”. Allez comprendre!

Gilet fluo
Plus généralisées sont les obligations d’emmener avec soi des gilets fluorescents et un triangle de secours (sauf au Royaume-Uni, où ni le triangle, ni le gilet ne sont obligatoires).
Notez qu’en Espagne la présence de deux triangles n’est plus obligatoire à bord des véhicules immatriculés à l’étranger.
Un seul triangle suffit désormais. En Suisse, ce même triangle ne peut être dans le coffre mais à portée de main du conducteur. Enfin, quelques pays – dont la Croatie – obligent les conducteurs à prendre avec eux un set d’ampoules de rechange… Sauf pour les phares récents: Xénon et autres Leds ne sont en effet pas réparables sans personnel qualifié!

GPS et radars, des nuances importantes

Touring met les vacanciers en garde quant à la détention et l’utilisation des systèmes détectant les caméras et autres radars mobiles: “Dans un certain nombre de pays, comme en Belgique, ceux-ci font l’objet de réprimandes sévères, cela va de la saisie de l’appareil jusqu’au paiement d’amendes variant d’un pays à l’autre. Il n’est pas toujours suffisant d’éteindre l’appareil de détection, parfois le seul fait d’en posséder un peut constituer une infraction pénale”.

Radar

Certains pays n’ont pas encore interdit ces détecteurs. Attention, nous parlons bien de détecteurs de radars et pas de systèmes d’alerte comme certains GPS ou d’appareils type Coyote.
Ceux-là sont acceptés dans de nombreux pays européens à l’exception de la Suisse, de l’Irlande, de la Slovaquie ou de la Turquie.
En France, les appareils tels que le Coyote ont dû s’adapter (comme en Allemagne) en ne signalant plus l’endroit précis des radars mais seulement des “zones de danger”…

Téléphones, parfois interdits même en mains libres

Le GSM est un véritable fléau lorsqu’il est question de sécurité routière. Une conversation téléphonique, l’envoi d’un sms ou la consultation de sites internet constituent une source de dangers évidents.
La plupart des pays d’Europe et du monde limitent drastiquement son usage. Parmi les plus répressifs: les autorités françaises, qui n’acceptent plus qu’un dispositif main-libres intégré à la voiture. Donc tout dispositif en contact direct avec les oreilles est strictement interdit (écouteurs, oreillettes, Bluetooth ou filaire, casques audio…).
Le non-respect de cette interdiction est puni d’une amende de 135 €!

Telefoon

Du crocodile à la table de multiplication

Même si l’Europe a eu tendance à niveler les règles de circulation au plus grand dénominateur commun, de nombreuses règles varient encore d’un pays à l’autre. Ainsi des distances de sécurité sur autoroutes.

crocodile-distances

En Allemagne par exemple, le conducteur doit maintenir une distance de sécurité suffisante entre son véhicule et celui qui le précède. Cette distance, exprimée en mètres, doit être au moins égale à la moitié de la vitesse du véhicule en km/h. Exemple: à une vitesse de 90 km/h, une distance d’au moins 90:2= 45 m doit être laissée.

En France, lorsque deux véhicules se suivent, la distance de sécurité requise correspond à la distance parcourue par le deuxième véhicule pendant 2 secondes, soit la fameuse règle du “crocodile” (équivalant au temps pour prononcer ce mot).

En Espagne, il est permis de rouler 20 km/h au-dessus de la vitesse autorisée lors d’un dépassement sur une route à voie unique dans chaque sens de la circulation… Bonjour l’appréciation de la part de la maréchaussée!

En Croatie, les jeunes conducteurs de moins de 24 ans doivent rouler 10 km/h moins vite que la limite imposée, par exemple 40 en ville et 120 au lieu de 130 sur l’autoroute.

Priorités et bienséances

Qu’en est-il de la priorité de droite dans un pays où l’on roule à gauche comme au Royaume-Uni? Eh bien, pas de priorité “automatique”, ni de gauche, ni de droite, elle sera indiquée aux carrefours.
La priorité de droite est par contre applicable en Irlande, à Malte et à Chypre. Le terme “priorité” (forkørselsret) n’existe plus dans le code de la route danois. Personne n’a la priorité.
Par contre, il existe ce que les autorités appellent le “vigepligt” (obligation de céder le passage). Le cycliste n’a donc pas la priorité, c’est le conducteur qui a l’obligation de céder le passage au cycliste puisque c’est un usager faible. La nuance est subtile mais vaut la peine d’être retenue.

Et en montagne?

Les routes de montagnes entraînent partout quelques règles de bienséance. En Suisse, vous êtes obligés de klaxonner avant de prendre un tournant incertain. En France, en Suisse, en Allemagne et en Autriche, sur les routes de montagne ou à forte déclivité, c’est le véhicule descendant qui doit s’arrêter.

Montagne
Si un véhicule doit reculer, cette obligation frappe d’abord les véhicules uniques par rapport aux ensembles de véhicules, les véhicules légers par rapport aux véhicules lourds. Entre véhicules de la même catégorie, c’est le véhicule descendant qui doit faire marche arrière, à moins que cette manœuvre ne soit plus facile au véhicule qui monte, notamment si celui-ci se trouve près d’une place d’évitement… Vous suivez toujours?

Péages contre la pollution

En plus des péages classiques (en France notamment ou pour les tunnels qui jalonnent les pays se situant autour des Alpes), de nombreux pays appliquent des péages ou interdictions de rouler liés à la pollution atmosphérique.
C’est en tout cas ce qu’avancent les autorités allemandes ou italiennes pour justifier leurs pastilles de couleurs à apposer sur le pare-brise pour pouvoir pénétrer dans les villes. Sans ce sésame, inutile de tenter l’intrusion sans risque d’une amende salée.

Peage

À Londres, pour limiter la circulation dans le centre-ville, les automobilistes doivent payer une “Congestion Charge” pour chaque plaque d’immatriculation. Cette taxe est d’application de 7 h à 18 h, du lundi au vendredi à l’exclusion des week-ends et jours fériés. Des caméras contrôlent, sur base de la plaque d’immatriculation, si la taxe a bien été payée.

Au Portugal, en plus du système de péage classique, il existe sur certaines autoroutes un système de péage électronique. Le passage de votre véhicule est détecté à l’aide de portiques placés au début de ces autoroutes.
Le payement ne peut alors pas se faire par carte ou en espèces, mais bien via un des systèmes de paiement existants: Easytoll , Tollservice, Tollcard, ou Viaverde (plus d’infos:www.portugaltolls.com). Pensez à disposer d’un compte approvisionné, d’une carte prépayée ou d’un boîtier électronique.

Permis à points

20 États-membres de l’Union européenne sont dotés d’un permis à points mais pas la Belgique, ça vous le savez! L’Allemagne fut la première à l’introduire en 1974. Chacun de ces 20 pays utilise un système bien à lui.

En Bulgarie par exemple, vous démarrez avec un solde de 39 points et l’on vous retire des points à chaque infraction, c’est 12 en France. En Allemagne, on commence à zéro et on accumule des points à chaque infraction.
Les sanctions diffèrent également d’un pays à l’autre. Au Luxembourg, le permis peut être retiré pendant 12 mois, tandis qu’en Espagne, ce délai varie en fonction du type de conducteur (3 mois pour les conducteurs professionnels et 6 mois pour les autres).
Ceci étant, le meilleur élève de la classe européenne – la Suède – n’a pas de permis à points, comme quoi ce n’est peut-être pas la panacée.

Vélos, à faire et à ne pas faire

Les règles en vigueur chez nous pour les vélos sont assez semblables à celles que vous pourriez rencontrer ailleurs en Europe. Toutefois, il existe quelques règles plus strictes concernant (notamment) les enfants…
Ainsi, en Croatie, il faut minimum 14 ans pour rouler à vélo sur la route, sauf si l’enfant a obtenu un permis (!) et ce à partir de 9 ans. Cette règle ne s’applique pas si l’enfant est accompagné par un adulte.
En Espagne, les cyclistes de moins de 16 ans doivent partout et toujours porter un casque et c’est moins de 18 ans en Tchéquie.

Velos

Concernant le transport, en Espagne et en Italie, les vélos attachés à l’arrière des véhicules ou des motor-homes doivent être signalés par un panneau rouge et blanc. Mais il existe une exception, au Portugal, où il est carrément interdit de transporter ses vélos à l’arrière de sa voiture, même si c’est sur une boule d’attelage en bonne et due forme, les vélos devront aller sur le toit!

Alcool interdit partout

Dans tous les pays, l’alcool est prohibé avant de prendre le volant, mais certaines législations sont plus contraignantes que d’autres avec des taux avoisinant le 0 (0,2 en Suède). En général, les pays scandinaves, baltes et ex-bloc de l’Est sont les plus rigoureux, et souvent le contrevenant s’expose à de solides amendes. Ainsi, par exemple, les autorités danoises condamnent systématiquement – même pour une première infraction (au-delà de 0,5 g/l) – à une amende dont le montant est basé sur le revenu mensuel moyen de l’auteur.

Alcool

Ailleurs dans le monde

Outre le site web de Touring, pensez à consulter ceux des ambassades des pays concernés, ils regorgent de conseils et informations fiables. Dans tous les cas, surtout en dehors de l’Europe, mieux vaut bien se documenter avant de prendre le volant.
Parfois même, vous ne pourrez même pas conduire vous-même puisque des pays n’autorisent simplement pas la conduite automobile aux étrangers. Ainsi en Chine, il est interdit de prendre le volant, même en possession d’un permis international. Il faut en effet un permis chinois… Que chacun peut tenter d’obtenir en passant un examen où il faudra répondre à une centaine de questions et ne pas commettre plus de 10 % d’erreurs. Bon courage!

 

Sources :: Site TOURING – Par Vincent Hayez – 23/05/2016