London calling

Par moments, lorsqu’il fait un peu trop calme autour de moi, j’entends Londres qui m’appelle.  Le temps de sauter dans l’Eurostar et en 2 heures, je me retrouve alors au cœur de la capitale anglaise.  Londres c’est Big Ben, Buckingham Palace, Trafalgar Square, Regent Street,… décor parfait pour revivre le temps d’un week-end le londonian way of life.

So magic… emprunter le Poudlard Express à destination de l’école des sorciers   

Londres 3Ce n’est pas exactement le train emprunté par Harry Potter mais bien un bus qui vous emmènera à 2h de Londres pour visiter les studios Warner Bros dans lesquels ont été tournés les films mettant en scène le jeune sorcier.  Entrez dans la grande salle, déambulez entre Privet Drive, le chemin de traverse et le bureau du Professeur Dumbledore.  Un immanquable pour les fans, petits et grands. Et parce qu’ils ne sont pas sorciers, les enfants moldus devront avoir recours aux effets spéciaux mis à leur disposition pour immortaliser leur survol de Londres à bord de leur balai! Heu…que dis-je? A bord de leur Éclair de Feu!

Je dois bien l’avouer, la dégustation de la véritable bieraubeure n’est pas l’expérience la plus magique du voyage. Je préfère rentrer à Londres. Allez, venez, on va boire un thé!

 So british… prendre l’afternoon tea au Grosvenor House

Londres 6Quoi de mieux pour profiter de cette tradition historique que de prendre l’afternoon tea dans un lieu… historique? Nous sommes sur Park Lane, Hyde Park à droite, hôtels de luxe à gauche. L’hôtel Grovesnor House a vu se succéder, depuis 1929, familles royales et autres célébrités. Dans son salon, on vous sert le thé de votre choix, accompagné de sandwichs au concombre et au saumon, de pâtisserie, de scones à la confiture. Et quand le tout est accompagné de Champagne, c’est encore plus agréable de respecter la tradition!

So glam… s’envoler à bord du London eye – Champagne flight

Passage obligé sur les rives de la Tamise. Saluons Big Ben et prenons un peu de hauteur. Le London eye, c’est l’incontournable! C’est monter à bord d’une grande roue de 130 mètres de haut pour admirer Londres qui s’étend à vos pieds.

Le London eye comme moi je l’entends? Avec une coupe de Champagne… Évidemment!

So rock… se perdre cette nuit sur le trottoir de Camden Street

De retour au sol au moment où la nuit tombe, direction Camden Town, sur les terres d’Amy Winehouse. L’esprit de la chanteuse hante toujours les rues de ce quartier déjanté, haut lieu de la culture alternative. A deux pas de Camden Street, se trouve The Hawley Arms, le pub dans lequel elle aimait passer ses soirées.  Murs en bois, parquet qui craque, Guinness dans les fûts. C’est l’endroit idéal pour profiter d’une ambiance typiquement londonienne, à l’écart des touristes et sur fond de rock’n’roll bien sûr !

 So sad… remonter à bord de l’Eurostar

Mais quand vient le temps de nous quitter, j’ai une certitude : entre toi et moi rien n’est fini London Baby !

Catherine Bourguignon, conseiller Voyages (bureau de Jambes)

Les 8 meilleures adresses pour manger la gaufre de Bruxelles, de La Panne à Knokke

GauffreBRUXOù trouve-t-on les meilleures gaufres de Bruxelles ? A la côte, pardi ! Nous avons sélectionné huit tea-rooms réputés, de La Panne à Knokke, et désigné la meilleure – et la plus grande – gaufre du littoral.

1/ Hôtel/tea-room Aan Zee (4 gaufres)

Le tea-room de ce petit hôtel de La Panne est aménagé dans une sorte de véranda vitrée qui donne sur la place du marché. L’espace est agréablement coloré. Les clients de l’hôtel y prennent le petit déjeuner le matin. Les propriétaires, Natalie et Patrick, proposent une carte qui comble les gros appétits comme les petits. Le croque géant et la gaufre géante sont des spécialités. La cuisine ouverte se trouve derrière le comptoir. Les gaufriers trônent au milieu de ce désordre ordonné. Notre gaufre, prête en quelques minutes, affiche des mensurations avantageuses, 25 x 15 cm et 40 carrés (prix : 3,90 €). Légère et fine, elle est extrêmement savoureuse, saupoudrée de sucre glace et servie avec du beurre, deux sortes de sucres et de la confiture d’abricots. Moyennant un petit supplément, on reçoit un topping au choix, pâte à tartiner au spéculoos (+ 1,50 €) ou advocaat (+ 4 €). Le café de Bruynooghe, servi avec un petit chocolat et du cake, est soigné et de bonne qualité (2,10 €).

Hôtel/tea-room Aan Zee, Markt 6, 8660 La Panne, +32 58 41 46 40, www.aanzeehotel.be

2/ Santos Place (3 gaufres)

A l’emplacement d’une ancienne usine de torréfaction se trouve désormais un grand tea-room avec restaurant. Le propriétaire Frédéric Blondeel a déménagé les ateliers à Beauvoorde. Sur le trottoir d’en face, au n°333, le magasin du même nom vend du café moulu ou en grains, des pralines et des biscuits. Le tea-room couleur café sert des petits déjeuners et des lunchs. Les croquettes aux crevettes sont une des spécialités des lieux, avec le châteaubriand. L’après-midi, place aux crêpes et aux gaufres. Celles-ci comptent pas moins de 18 variantes : à la chantilly (4,50 €), au chocolat (7 €) ou aux fruits frais (7 €). Nous avons commandé une gaufre au sucre (3,30 €), qui est arrivée en peu de temps, avec douze carrés pour une taille de 17 x 10 cm. Une demi-gaufre l’accompagne. La tradition chez Santos veut que l’on remplisse totalement le demi-gaufrier. La pâte coule un peu sur le second moule, ce qui nous vaut un petit rab ! Le café torréfié sur place est top. Il est servi avec un petit chou frais farci à la crème pâtissière (2,20 €).

Tea-room restaurant Santos Palace, avenue de la Mer 306, 8670 Coxyde, +32 58 51 21 80

3/ ’t Sneukelhuisje (3 gaufres)

Glacier et salon de thé, ’t Sneukkelhuisje a trouvé place dans un bâtiment moderne à l’orée de Nieuport, près de la rotonde et à un jet de coquillages du port. Le tea-room est réputé pour sa glace maison, ses crêpes et ses gaufres exquises. Les propriétaires jouent la carte de la créativité avec leurs glaces : la kiba est une coupe banane-kiwi. On trouve aussi des parfums mojito, rose ou cuberdon. Les amateurs de café craqueront pour le café Sneukel, avec six mignardises (7,50 €). L’accueil est très sympathique. Le patron sifflote en salle. A côté de la gaufre au sucre (3,50 €), on trouve 17 variations, de la gaufre aux fraises fraîches et chantilly (7,20 €) à la gaufre aux fruits (7,40 €). Notre gaufre au sucre toute simple était de format standard (17 x 10 cm), avec quinze carrés. Un peu moins légère que d’autres, elle présentait tout de même une belle structure. Et beaucoup de saveur. Saupoudrée de sucre glace, elle nous a été servie avec un café bien mousseux, du torréfacteur artisanal gantois Javana (2 €).

’t Sneukelhuisje, av. Astrid 3, 8620 Nieuport, +32 476 28 21 42

4/ Tea-room Georges (3 gaufres)

Le Tearoom Georges, rénové l’an passé, est réputé pour ses gaufres, ses crêpes et ses crèmes glacées. La nouvelle déco est contemporaine, un peu froide en raison des couleurs utilisées et des luminaires design façon spoutniks. Côté rue, un comptoir de glaces donne sur la cuisine ouverte qui s’étend sur toute la longueur de la salle à manger. Les cuisiniers et les serveurs sont jeunes et enthousiastes, prompts à blaguer. La carte affiche des petits déjeuners, des croques, des soupes, des club sandwichs, des croquettes, des omelettes, des salades, des pâtes, des pizzas, des beignets aux pommes, des crèmes glacées et des crêpes. La spécialité est la mezzaluna, une foccacia fermée. Le répertoire de gaufres compte une quinzaine de variétés : de la gaufre au sucre (3,50 €) à la gaufre Forêt Noire aux cerises et au Calvados (9,30 €), en passant par la gaufre Montreal avec fruits et chantilly (9,80 €). Notre gaufre est généreusement saupoudrée de sucre glace. Format : 19 x 12 cm, avec une quarantaine de carrés et une croûte légère et exquise. Mais l’intérieur n’était pas assez cuit. Nous avons bu un espresso Cook & Boon espresso mousseux mais un peu amer (2,40 €).

Tea-room Georges, rue Adolf Buyl 15, 8400 Ostende, +32 59 70 29 25, www.tearoomgeorges.be

5/ ‘t Koetshuis (5 gaufres)

Le tea-room ’t Koetshuis a trouvé place dans une très belle maison de bourgmestre, qui donne, côté jardin, sur une cour intérieure flanquée d’un charmant petit édifice romantique. On passe un moment enchanteur au ’t Koetshuis ! La décoration est très soignée et le service gentil et efficace. La carte des boissons aligne un beau choix de cafés spéciaux. Le matin, on peut commander un petit déjeuner complet. Pour les grandes faims, à midi, on a le choix entre des salades généreuses et des plats chauds : salade au camembert chaud et aux noix (15 €), filet de sole sauce tartare et salade (21 €)… ’t Koetshuis est aussi réputé pour ses crêpes et ses gaufres. La gaufre au sucre coûte 3,5 €, celle aux cerises 6,2 € et celle aux fruits et fraises 8 €. Notre gaufre saupoudrée de sucre glace mesure 16 x 10 cm et compte 15 carrés. Ultra légère et vraiment délicieuse, elle présente une légère croûte caramélisée en surface. Le chef du ’t Koetshuis ajoute un peu de sucre à la pâte et préchauffe son gaufrier. Dès que la pâte est versée dans le moule, on baisse la température. Le café Carantos est un régal servi avec un peu de crème, un morceau de cake et un petit chocolat (2,20 €).

’t Koetshuis, Molenstraat 19, Blankenberge, +32 50 41 47 24

6/ ’t Zandlopertje (2 gaufres)

Le pavillon est situé à cheval sur la plage et le boulevard. Installé une des tables du ’t Zandlopertje, on bénéficie d’une vue imprenable sur la plage et le large, avec le port de Zeebruges à main droite. La décoration est désuète, les chaises inconfortables et cela sent le brûleur à mazout, qui chauffe l’espace. La carte des boissons est pléthorique. Celle des plats et desserts reste classique (vol-au-vent et langue de bœuf sauce madère). Côté douceurs, on sert des glaces, des coupes, de la tarte aux pommes chaude et des crêpes, le tout fait maison. Beau choix de gaufres : avec glace et chocolat chaud (5,20 €), avec glace, chantilly et fruits (8,40 €). Une robuste femme vient prendre la commande. Notre gaufre au sucre ne coûte que 3,20 € et est servie en deux temps trois mouvements. Format : 18 x 11 cm, 24 carrés. La gaufre saupoudrée de sucre glace est peu croquante au dehors et un peu spongieuse dedans. Dommage. Saveur bonne, sans plus. La gaufre est servie sans accompagnement et le café Carantos, présenté dans une tasse démodée, avec un petit chocolat. Goût un peu âpre (prix : 2,10 €).

’t Zandlopertje, Digue de mer 13a, 8380 Zeebruges, +32 50 54 41 05

7/ Crème Karamel (3 gaufres)

Le tea-room Crème Karamel remplace le restaurant Roland. On vient y prendre le petit déjeuner, un lunch léger ou des club sandwichs. L’après-midi, on craque pour une pâtisserie, des crêpes ou des gaufres. La décoration façon cottage est cosy et réussie. On prend place dans l’avancée côté rue ou à l’arrière. La cuisine est située au centre, derrière le comptoir chargé de biscuits et de petits pains. Les serveurs sont tout de rouge vêtus et la femme souriante qui nous sert affiche un roux flamboyant. Nous commandons une simple gaufre de Bruxelles au sucre (4 €). Elle arrive avec une confiture de figue, deux sortes de sucres et un peu de beurre. Format : 16 x 10 cm, 15 carrés. La pâte manque un peu de fragilité et le chef n’a pas été très généreux avec le sucre glace. Le «café de grand-mère» que nous avons commandé est couronné d’une belle mousse, servi bien chaud et très savoureux. Il est accompagné d’un mini-croissant (de qualité médiocre) et d’un peu de lait entier. Si vous prenez une gaufre avec glace, chantilly et fruits frais, l’addition se monte à 10,50 €. La gaufre de Bruxelles Crème Karamel est accompagnée de glace caramel, sauce caramel et chantilly (9 €), ce qui ne peut pas être mauvais !

Tea-room Crème Karamel, av. Lippens 110, 8300 Knokke-Heist, +32 50 62 33 18

8/ Silversand (4 gaufres)

Les affiches en façade de ce tea-room moderne annoncent «Super wafels». Ainsi alléché, l’amateur peut entrer sans risque de déception, car les gaufres de Silversand sont non seulement excellentes mais gigantesques. Avec leur taille généreuse de 24 sur 14 cm, elles alignent 35 carrés. Saupoudrée de sucre glace, la gaufre se révèle parfaitement cuite, légère, croquante au dehors et moelleuse au dedans, comme il se doit. Les propriétaires, monsieur et madame Breems-Versluys ont été les premiers, en 1991, à proposer des gaufres géantes. Leurs gaufriers sont réalisés sur mesure et entretenus plusieurs fois par saison par le producteur lui-même. En haute saison, les cuisines fabriquent de la pâte fraîche, additionnée de levure, plusieurs fois par jour, avec toujours un temps de repos. La super gaufre au sucre coûte 5,30 €, au beurre 6,10 €, à la chantilly 6,40 €. Avec des cerises et de la chantilly, il vous en coûtera 9,80 €. La plus chère est la gaufre aux myrtilles fraîches et à la chantilly (11,80 €). Nous avons bu un café Carantos très correct (2,70 €). Jolie vue sur la large depuis le tea-room et la terrasse.

Tea-room Silversand, Digue de mer 90-91, 8370 Blankenberge, +32 50 41 46 50, www.silversand.be

Source :: Weekend Le Vif – par Pieter Van Doveren

Le Berlin insolite et branché

Voici quelques suggestions pour sortir des sentiers battus dans la vibrante métropole allemande.

Histoires de mur

20140917-150052-gRien de tel qu’une balade en vélo, avec guide, pour découvrir l’essence d’une ville. À Berlin, la question du mur et de sa chute est un incontournable, même 25 ans après l’événement qui a changé la face de l’Allemagne.

On file d’abord vers le nord de Mitte, quartier central, avec arrêt au Mauer Park, où le mur qui séparait Berlin en deux grimpe à dos de colline. Il est quasi intact… et couvert de graffitis. Premier contact avec l’art de rue pour lequel Berlin est renommé. En contrebas, le parc s’anime le week-end avec un marché et des musiciens. Après un détour dans quelques rues typiques de Berlin Est et Ouest, on rejoindra, plus au sud, Bernauer Strasse et son parc commémoratif de la chute du mur. Il est simplement délimité par une longue série de poteaux d’acier, une jolie chapelle, un mémorial et une tour d’observation donnant vue plongeante sur le seul site conservé du temps de la séparation de la ville, avec deux murs, une tour de guet et un «no man’s land» au milieu. Impressionnant.

www.berlinonbike.de & www.mauer.visitBerlin.de

Passages obligés

20140917-150052-aDe jolis passages ont été aménagés entre certaines rues pour donner accès à des bâtiments construits entre les deux. Ces cours intérieures abritent souvent boutiques ou cafés tranquilles et sympathiques au pied d’édifices à logements.
Les plus intéressants sont les Hackesche Höfe, un ensemble de huit arrière-cours du quartier Mitte. Celle donnant sur Rosenthaler Strasse, bordée par des bâtiments squattés dans les années 1990, est un royaume de l’art de rue, perpétuant la tradition du graffiti, plus ou moins artistique, sur tous ses murs. Certains artistes sont des vedettes berlinoises comme El Bocho ou Little Lutzi, dont les œuvres sont rarement recouvertes. Le passage abrite l’un des plus vieux cafés berlinois, le Café Cinéma, tandis que le petit Sophie-Gips-Höfe a son Barcomi’s Deli, un salon de thé réputé pour son gâteau au fromage. Et dans Heckmannhöfe, la fabrique de bonbons Bonbonmacherei fait preuve de discrétion, mais les initiés la connaissent bien, notamment pour ses bonbons verts à l’aspérule odorante.

www.hackesche-hoefe.com, www.barcomis.de et www.bonbonmacherei.de

Usines brassicoles

20140917-150052-dLa brasserie Schultheiss est l’une des immenses usines désaffectées, en plusieurs bâtiments de briques, qui font partie du décor urbain de Berlin. Celle-ci – rebaptisée KulturBrauerei – a une nouvelle vocation au service de la culture: théâtres, ateliers d’artistes, spectacles, restaurants (www.kulturbrauerei.de).
Celle de Bötzow est loin d’être aussi rénovée, mais elle fait l’objet d’un projet passionnant de réhabilitation (avec entre autres un hôtel-boutique, un spa, une nouvelle brasserie) qui sera complété en 2019. Pour l’heure s’y trouvent une galerie d’art et un restaurant vraiment originaux. Il faut chercher un peu la porte menant à la galerie, au fond d’un sombre couloir portant les stigmates de l’ancienne vocation de lieux. La lumière au bout du tunnel est une galerie d’art qu’on visite avant de monter à l’étage via un vieil escalier de fer. La Soupe populaire a investi les lieux sans les trahir, conservant structure d’acier, de bois et de béton de l’usine à son état «naturel». Autre curiosité: le menu varie en fonction des expositions. Concoctés par Tim Raue, un chef berlinois à la mode, les plats de fine cuisine sont servis dans des bols.

www.boetzowberlin.de & www.lasoupepopulaire.de

Source :: canoe.ca, Anne Pélouas

5 applications pour le voyage

Pin Drop

pindrop-244x300Cela arrive souvent de se dire « mais quel était donc ce chouette restaurant où je suis allé le mois dernier avec les copains? ». On se souvient de la chouette expérience mais on a oublié le nom et l’adresse. Ca nous reviendra, mais pas tout de suite. Pin Drop permet d’éviter ces petits trous de mémoire ennuyeux. L’application permet de placer des épingles sur une carte, de les nommer et de les classer par catégories.
Une chouette application également pour préparer un voyage. On peut pointer sur la carte d’une future destination les endroits que l’on souhaite visiter, les restaurants que l’on veut tester, les lieux à voir… Idéal pour les voyages car la carte peut se consulter offline.
On peut même ajouter des photos. De plus, si on le souhaite, on peut partager ses épingles avec ses amis. C’est un peu un mélange de Foursquare et de Pinterest en somme.
Gratuit

Tripadvisor offline City Guides

TCG1-300x300Tripadvisor a créé une application qui réuni des guides sur des villes qui peuvent être consultés hors ligne. Très pratique lorsqu’on se trouve sur un autre réseau et si on se soucie d’économiser sa batterie de téléphone. Sur Tripadvisor offline City Guides, on retrouve les sections qui font le succès du site: les revues d’hôtels, de restaurants, des attractions, des suggestions d’itinéraires, la carte de la ville…
Il suffit de télécharger les guides qui nous intéressent – 80 villes disponibles. Et si vous vous inquiétez de la mémoire disponible sur votre mobile, soyez sans crainte, on peut effacer les guides téléchargés quand on n’en a plus besoin.
Gratuit

WorldWize

worldwize-300x292Le but de WorldWize est de connecter en temps réel les voyageurs du monde entier et même les locaux afin de partager des bons plans et astuces. Plus il y aura de gens connectés, plus il sera possible d’obtenir conseils et info rapidement. On peut se connecter via son compte Facebook si on le souhaite. On peut choisir de se connecter avec certains voyageurs et locaux et discuter en ligne. Une carte interactive permet de voir où sont les « amis voyageurs » et où ils ont voyagé.
Où boire le meilleur café à Stockholm? Quel est le moyen le plus rapide pour rejoindre l’aéroport de Munich? Une adresse de pub avec de la musique traditionnelle irlandaise à Cork? Toutes ces questions trouveront surement des réponses sur le réseau de voyageurs de WorldWize.
Gratuit

EatWith

EATWITH_logo-300x76Bon, ce n’est pas une application, ok. Mais le concept est tellement génial qu’il mériterait une application. Avec EatWith, vous ne dinerez plus jamais seul! Ce site permet de trouver un couvert chez l’habitant. De passage dans une ville, vous pouvez partager une expérience unique chez des locaux ainsi qu’un excellent repas. Quel meilleur moyen de faire connaissance avec une ville qu’à travers ses habitants en partageant un repas? Il y a plus que de la nourriture à partager autour d’une table. Il y a les expériences de chacun, des suggestions de visites, des bons plans de locaux… EatWith existe déjà dans plus d’une quinzaine de villes: New York, Milan, Lisbonne, Madrid, San Francisco, Bueno Aires… Une façon de donner une nouvelle dimension à ses voyages.

Citymapper

Citymapper_icon_1024-150x150C’est selon nous l’application de transport ultime. Elle permet d’optimiser ses déplacements urbains et on peut enregistrer ses trajets hors ligne. On peut choisir le moyen de transport: métro, bus, taxi ou vélo; l’application vous donne une estimation du temps que cela vous prendra, du nombre de calories vous aller brûler et du coût. L’interface est agréable à utiliser, très complète et très intuitive. Malheureusement, elle n’existe que pour très peu de villes: Londres, New York, Paris et Berlin.
Gratuit

 

Source :: Blogs de voyage

Carnet de voyage : Santiago de Cuba, pays des Chevrolet

cuba3La Havane, Santiago de Cuba : deux villes, deux histoires et 1000 kilomètres de distance. Mais surtout deux manières totalement différentes de concevoir le rapport avec les belles vieilles voitures américaines.
Si dans la capitale, les véhicules anciens sont essentiellement des taxis, et le plus souvent des Pontiac et des Ford Fairlane, ils sont là avant tout pour les touristes et les photos de mariage, sans vraiment remplir leur fonction première de permettre de rejoindre un point à un autre … puisqu’on paye avant tout pour « faire un tour ». Désormais, les taxis de la Havane, les vrais, sont le plus souvent chinois ou coréens.
Tel n’est pas le cas à Santiago. Ici, pas de frime, pas des carrosseries aussi roses que rutilantes pour justifier la note finale des clients, avant tout attirés par le côté fun de la chose et la photo souvenir à montrer aux copains.
Mais au contraire, un véritable respect – voire même amour – de ces vieilles voitures où l’objectif demeure bien de se déplacer. Le parc ? Avant tout des Chevrolet, à quelques exceptions près, là aussi, le côté fonctionnel rentrant plus en ligne de compte. En effet à Cuba, comme en Europe, et aux Etats-Unis, dans les années 50, tout le monde ne roulait pas en Pontiac décapotable … Peut-être plus en  Chevrolet 210 4-Door sedan 1955, même s’il n’y a jamais eu d’oiseau sur l’avion du capot à l’origine.
Autre point notable : chaque conducteur semble tout à fait conscient de la chance de pouvoir être au volant de telles légendes roulantes, telle cette Bel-Air 1955 que je n’ai pas pu résister à photographier sous tous les angles.

Petit rappel aussi : Santiago de Cuba est à 20 kilomètres de la plage … et abritait beaucoup moins de casinos et autres lieux festifs que la Havane. Certes, si il y a tout de même des taxis Chevrolet  dans la capitale cubaine telles que  cette Impala 4-Door hardtop (différente de la « simple » 4-Door sedan au niveau de la vitre arrière) de 1959. Mais son relooking  relève plus du monde de Barbie et des casinos qu’autre chose.

Crédits Photos :  Elisabeth STUDER – www.leblogauto.com
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